Comme dans Jojo’s Bizzare aventure, le protagoniste de maitre ruban change à chaque nouvel arc, alors qu’il herite du fameux mètre ruban. Chacun aura une personnalité radicalement différente et une nouvelle façon d’utiliser le ruban. Le style graphique (et même carrément le dessinateur) changerait aussi pour aller avec la personnalité du nouveau Maître. Du coup, on avait pensé le premier arc du manga pour illustrer et exploiter cette idée. Ce serait un double arc vu de deux points de vue ; succinctement ce serait :

Le premier maitre ruban (que je vais appeler Marco L pour cette article, mais c’est juste par praticité) c’est quelqu’un d’assez direct et bon vivant, voir un peu puéril. Il aime s’amuser, jouer au jeu du couteau avec une fourchette en bois et faire des compilation de trickshot avec des handspiner et des canettes pleine (elles sont ouf d’ailleurs). Askip si on lui demande si un verre est à moitié plein ou a moitié vide, il le boit cul sec, pas de soucis. A coté de ça il a un peu la tête dans les nuages comme dirait une maîtresse d’école, il ne fait pas hyper gaffe aux gens autour de lui et du coup dans l’arc les autres personnages ont tendance à être dessinés assez petit, un peu à la périphérie de la case, alors que lui il est au centre.

Un jour il trouve un mètre ruban qui parle dans une langue inconnue et étrange (peut être du tchèque), et il part à fond dans un délire superheroique. Il commence à s’en prendre à la pègre locale, ce qui l’amènera a affronter de formidable adversaires, comme le gang des racailles éventails, l’homme aux avion en papier ou la bodybuildeuse aux muscles fusil à pompe. Ça l’amènera aussi à se faire tuer, malheureusement.
Et là, incroyable, le récit revient à la première planche, mais non plus vue du point de vue de Marco L, mais d’un personnage qui jusque là était dans l’arrière plan en train de faire des têtes bizarres, Soledad Jimenez ! (c’est aussi un nom temporaire).
Soledad Jimenez c’est quelqu’un qui réfléchi beaucoup, vraiment beaucoup et vraiment très vite. En fait elle réfléchi tellement vite et elle vit tellement d’émotion en si peu de temps que son visage prend un peu de chaque émotion qu’elle vit en simultané.
Dans le premier arc on voit des visages incompressibles, mais dans le deuxième on comprend ce qui se passe chez elle, parce que l’on vit les choses de son point de vue. Au niveau du plot ce serait un peu le même genre de chose, on a l’envers du décors des événements du premier, en voyant le rôle qu’y a joué Soledad. Elle a un crush secret sur Marco L, du coup en sum sum elle s’arrange pour que son aventure super héroïque ne finisse pas super mal (même si elle va quand même finir mal). Après la mort de Marco L elle hérite du maître ruban et l’histoire continue.
Pour aller avec son côté sur-réfléchi on adopterais un style graphique très détaillé, à l’opposé de celui du premier arc.

Voilà, on a pas beaucoup plus sur ces arcs pour le moment, surtout au niveau de l’histoire, des événement et des personnage secondaires, mais je pense que ça donne à voir le concept déjà.

Pour conclure voici deux planche d’à peu près la même scène dans l’arc un et deux. Marco L s’ennuie en classe et regarde par la fenêtre, sans vraiment remarquer Soledad qui est pourtant dans son champ de vision. Soledad croit qu’il la regarde et passe par mal d’état, mais genre mille chapitre plus tard, c’est incroyable on dirait One Piece.

Bien le bonjour à vous 

J'ai remarqué que l'on est une bande qui aime bien la compétition, on en fait souvent sur moult sujet comme vomir par exemple, alors pourquoi pas la photo ?

Du coup, ce que je vous propose c'est de réaliser une série de photo sur un thème précis, et dans un mois on compare ce que l'on à fait et on vote ensemble par commentaire pour désigner un ou une gagnante. Un truc plutôt classique quoi.
  

Pour le thème j'hésite entre juste un concept vague que l'on doit interpréter (en l'occurrence se serait "un mélange chelou", sauf si vous avez une meilleure idée) où choisir une nouvelle ou un extrait de texte et on doit l'illustrer en photo. Qu'est ce que vous en pensez ? 

Aussi quand je dit photo j'inclus les capture d'écran de jeu par ce que pourquoi pas.

Dites moi si ça vous intéresse ! 

 Dans Maître Ruban on aimerait que les superpouvoirs reflètent au maximum la personnalité de leurs détenteurs, qu'ils soient une représentation de leur archétype.
 Je ne sais donc pas grand chose du personnage dont je veux parler aujourd'hui -ni son nom ni son genre*-, mais je sais qu'elle remet tout à demain, et a fait de la procrastination un art de vivre, parce que c'est justement son pouvoir.

 Son pouvoir lui permet de remettre un truc qu'elle voit à plus tard (jusqu'à 5 secondes), et s'active en serrant le poing. 'Remettre un truc à plus tard' c'est introduire un délai entre une action et sa conséquence.
 Disons par exemple qu'elle veuille s'infiltrer quelque part, elle pourrait  :
 -Casser un truc mais activer son pouvoir pour remettre son bruit à plus tard pour avoir le temps de s'en éloigner avant qu'il n'attire les gardes.
 -Faire croire à quelqu'un qu'une porte qu'il essaye d'ouvrir avec son badge magnétique est bloquée en retardant son ouverture, pour ensuite s'y engouffrer en désactivant son pouvoir.
 -Retarder le tir d'un pistolet pour s'échapper.
Et ainsi de suite.

Un truc qui nous semble important aussi dans l'écriture de ces pouvoirs, c'est qu'ils soient 'cohérents', dans le sens où leur utilisation ne doit jamais dépasser le cadre des règles et contraintes clairement imposées à l'introduction de leur pouvoir ; les éventuels retournements narratifs et power-ups pourront venir d'un raffinement de la pratique de leur compétence (par exemple la détentrice de ce pouvoir pourrait commencer par ne savoir retarder quelque chose que de façon imprécise, à le seconde près, apprenant au fur et à mesure à retarder d'un 10ème ou d'un 100ème de seconde), mais on préférerait au maximum que ces améliorations viennent d'une pratique plus intelligente et réfléchie de leur pouvoir plutôt que d'un simple entraînement.
  Ainsi elle finirait par réaliser qu'après avoir activé son pouvoir avec un poing, elle peut remettre à plus tard les conséquences de sa désactivation avec son second poing, rouvrir son premier poing et faire de même, remettant à plus tard indéfiniment, mais paralysant complètement son pouvoir en échange (tout en la forçant à changer de poing toutes les 5 secondes). 
  Il pourrait y avoir par exemple une scène où elle arrive indemne à l'hôpital, mais en fermant nerveusement ses poings alternativement. Elle va voir un médecin et désactive son pouvoir, et commence alors à recevoir tous les coups d'un combat qu'elle avait remis à plus tard ! Elle peut donc se rendre temporairement invulnérable puisqu'elle peut reporter les conséquences d'un coup.

  Je pense que c'est un pouvoir chouette qui peut avoir pas mal de conséquences et d'utilisations sympas, sans être craqué. Il a aussi la particularité de pouvoir bien se combiner avec d'autres pouvoirs (que nous verront plus tard), d'autant qu'il n'est pas très offensif ! Pas mal de nos idées reposent comme ça sur les combinaisons de différents pouvoirs, c'est quelque chose que j'aime beaucoup perso !

Voilà, si vous avez des questions ou des suggestions n'hésitez pas.
 à la semaine prochaine !

*je vais supposer que c'est une meuf pour simplifier l'écriture, mais en tous cas si vous avez des idées de noms ou de personnalité plus détaillés, encore une fois n'hésitez pas !!

 Au fondement du projet de maitre ruban, il y a l'envie profonde de montrer au monde tout ce que l'on pourrait faire avec un mètre ruban. Le possibilités sont infinie, tout comme la classe. Laissé moi donc vous montrer quelques une des utilisations de ce merveilleux outil.

L'épée

Le fouet, (avec un option de dommage sonique)

tenu à l'envers, c'est une mase (attention à la main par contre)

Si l'on le rembobine, Il devient un grappin

Un exemple de coup de pied sauté rembobiné

Le mètre ruban de maitre ruban est construit dans un matériau supraconducteur, ce qui lui permet de produire un effet Meisner à de très basse température et de conduire comme un dieu