A peine le temps de nous remettre de nos émotions que nous dévalons les pentes de la rue de cognac. Nous sommes entourées de végétations dense et de "tag" politique. Ma colocataire passe un appel pro sur son téléphone banane.

Puis au detour de la rue nous nous trouvons nez à nez avec l'enjmin, ce batiments qui fut mon repaire, ma maison pendant des années. La nostalgie n'envahit.

Mais le petit train n'attend pas, il continue sa route, celle de bordeaux qui se trouve longer l'eau vers le quartier de L'Houmeau. 

J'essaye de prendre une photo d'un voiture d'époque et capture par accident ce gars avec sa chuppa chups

Le petit train commence à fatiguer alors on fait un arrêt au garage. Potite pause téléphone 

C'est déjà presque la fin du tour. En remontant vers la place de L'Houmeau le petit train se reflète brièvement dans une vitrine.

C'est notre arrêt ! On descend et on dit au revoir au petit train, non sans émotions.

(allégorie des émotions ressenties au moment de dire au revoir au petit train)

Voilà c'était tout ! J'espère que vous avez apprécié d'entre embarqué dans ce voyage. Si ça vous à plut hésitez pas à lâcher un com ou un pouce bleu, ça fait toujours plaisir !
A bientôt les squatteur de swagg ;)

Brochure du tour + le lien de leur site

Le week end dernier j'ai fait une ballade en petit train à travers Angoulême, dans un esprit de tourisme, d'exotisme et de dépaysement j'ai pris mon appareil photo. C'était l'occasion pour moi de porter un regard esthétique et autant que possible étranger sur une ville que j'habite depuis trois ans (même si au final j'ai surtout pris des photo de ma coloc Hannah).

Eklablog en comprend pas le format Portrait alors je vous invite à tourner la tête ou vos écrans pour apprécier certaines photos

On arrive juste à temps pour monter. On prend les premiers sièges juste derrière celui de la conductrice (qui est très impressionnante). Le petit bout de ciel et la fausse cheminée du petit train semble être une invitation au voyage, à se laisser porter très loin dans le ronron du moteur pas du tout à vapeur du faux train. Je suis très excité. 

Pour ce voyage je suis accompagné par Hannah, Personne renversante, ma colocataire à Angoulême, qui s'est habillée en BG pour l'occasion. 

La machiniste allume les haut parleur, met le moteur et marche et c'est partit ! le petit train est en marche. Nous commençons par remonter une pente, dépasser le haut tacos et nous nous aventurons dans les rues bondées du centre ville, riche en commerce et négoce.

Malgré l'effervescence de la rue Hergé, on ne peut s'empêcher de remarquer le nombre de magasin fermé définitivement. Au nombre  des victime de la banqueroute on trouve la boutique préférée des sorcier.ère.s  d'Angoulême. RIP.

Le regard des autochtones oscille entre la fascination et la désapprobation devant le spectacle du petit train gratuit. 

Nous  quittons les rues encombrée pour aller à la rencontre des Antiques Halles D'Angoulême, fruit de la mure réflexion de l'ingénieur Pommier. 

Sur les rempart nous sommes témoins d'un baiser. Qui sont ses gens ? Nous ne le saurons jamais.

On se retrouve dans la partie 2 ; ) 

J'ai commencé par la glycine et j'ai hésité à quoi faire comme batiment derrière, un truc en brique qui serait surement charmant mais un peu convenu, ou un truc en béton moins joli mais qui contrasterait plus. Finalement je suis partie sur ça et j'en suis assez contente ! La glycine se noie un peu mais ça va je trouve. Par contre je suis vraiment pas contente du toit, je sais pas comment je l'ai autant raté.