Hello !

J'ai découvert récemment le travail de Lou Lubie, une dessinatrice de BD.

Pourquoi je vous le partage: parce qu'elle a de très bonnes idées ! 

Elle a créé notamment avec d'autres internautes une BD collective et un jeu vidéo collectif. 

Le lien de son blog: Lou Lubie

Au vue de ce qui est fait ici, je me dis que l'un ou l'autre peut être un projet très sympa :)

Dites moi si ça vous tente de créer une BD collective, un jeu vidéo, ou tout autre support !

Il y a moult mois j'avais eu un exercice ou on me demandait de créer un personnage et un jeu pour aller avec et je m'était bien amusé à faire n'importe quoi. Je suis retombé dessus en rangeant mon bureau numerique et je me suis dit que je le mettrais bien sur les swatt du swagg, même si c'est un peu du shit posting.


Mon personnage s’appelle Camille Pirouette, c’est un.e quadragénaire de 25 ans (ayant prématurément vieilli), dans un monde ou les éboueur ont pris le pouvoir sur le reste de la société à la suite d’un grève de cinquante ans qui à transformé toute les grandes villes en décharge à ciel couvert (il ne fait pas très beau).
Désertée mais pleine de richesse potentielle, les métropole ont vu l’apparition d’individus capable de plonger dans la mer d’ordure pour remonter vaccins, piles nucléaires ou bijoux de famille : les Garbage Diver.

Camille Pirouette était un.e garbage Diver talentueuse, mais des années passée à ne pas respecter les paliers de décompression ordure, pourtant la base de l’art du Garbage Diver, lui ont férocement abîmé la tête, jusqu’à déclencher l’apparition d’une personnalité secondaire qui prend progressivement le contrôle de son corps : le joueur.
Anciennement arrogant.e et plein.e d’assurance, Camille est aujourd’hui un personnage en perte de repère, à moitié conscient qu’il/elle est en train de disparaître.
Pour essayer de raviver son sens de l’identité, Camille part en quête de son passé perdu et en train de se perdre, ses parents, ses amours, l’état du monde avant la grande grève, mais sa nouvelle personnalité (donc vous) s’y oppose, essayant de faire échouer cette quête pour prendre le contrôle définitif de son corps.

En terme de jeu il s’agit d’un twin stick shooter et d’un jeu d’enquête inversé.
Le joueur n’aurait le contrôle que d’un des stick à la fois, soit celui pour tirer soit celui pour se déplacer, l’autre étant sous le contrôle de Camille Pirouette.
Les séquence de shoot serait entrecoupé de garbage diving et de phases d’enquêtes durant lesquels le joueur contrôlerait une mains de Camille et devrait essayer de discrètement faire disparaître les documents ou informations qui le mettrai en danger, et de mettre en avant les informations qui pousserait Camille à certaine action et abîmerais plus en avant son mental.

Dans la séquence d'introduction on essaierait de mettre en valeur l’anxiété du personnage, sa maladie mentale, tout en faisant un peu d’exposition, par exemple une scène ou Camille serait chez lui/elle, dans une pièce assez dénudé, et elle range des affaires encore et encore en les changeant juste de place. Au milieu de la séquence ou pourra introduire les élements interactif ( le contrôle de la mains) pour que le joueur comprenne un peu qu’il à un contrôle sur partie du personnage. Aprés Camille se met à pleurer dans ses mains mais il n’y en qu’une seule qui remonte pour sécher ses larmes, l’autre c’est celle de vous le joueur, et vous préférez faire de petit fucks.

Salut à vous !
Pour ce mercredi j'aimerais vous présenter Deux groupes d'antagonistes de maitre ruban : Le gang des racailles éventails, le gang des partisans de l'aérodynamisme 

Les racailles sont un groupe fasciné par tout ce qui permet de contraindre l’air à souffler dans une direction, Principalement les éventails, mais aussi les ventilateurs et le souffle humain ou animal.
Tout les membres de ce groupes sont reconnaissable à leur iroquoise imposante, constamment rigidifié par du gel, qui leur sert d’ éventail organique. Lors du grand festival de l’éventail ils participent à des tournois de duel de poussé en se servant de leurs iroquoise, un peu à la façon des cervidé. Le gagnant devient leur chef pour l’année suivante, jusqu’au prochain festival.
Le titre de chef est plus honorifique qu’autre chose, car les racailles éventail n’admettent pas que l’éventail de leur possible soit limité par une hiérarchie. A la façon dont un éventail dicte la directions du vent, ils souhaitent être l’éventail de leur propre vie plutôt que d’être dirigé par l’éventail d’un autre ou de la société en général. L’indépendance est la valeur cardinale des R.E.
Lors de ce festival, chaque membre du gang est tenu d’apporter un nouvel éventails pour l’ajouter a la grande collection d’éventails. Apporter un éventail d’un genre nouveau est une source de grand prestige.
Leurs principales activité criminelle consiste à essayer de voler le plus bel éventail possible en préparation du festival, mais ils sont aussi connu pour importuner les gens dans les lieux public en leur soufflant de l’air dessus avec leur iroquoise, comme une façon de faire connaître à tous la supériorité de leurs force de poussé aérienne. Ils sont donc une des premières cause de décoiffement en milieux urbain, ce qui leur attire de nombreuses inimitiés.

                                                                        Un représentant typique des racailles éventails 

Il existe un groupe antagoniste aux racailles éventails, les partisans de l’aérodynamisme.

Les valeurs des partisans de l’aérodynamisme sont diamétralement opposé à celles des racailles éventails. Ils adorent l’aérodynamisme et le recherchent dans tout les aspect de leurs vie : leurs corps doivent être aérodynamique, mais aussi leur habits, leurs façon de parler, leurs ameublement, leurs relations et leur sens moral. Ils prennent toutes les décision de leurs vie pour minimiser leur prise au vent.
C’est un groupe très hermétique, pour y entrer il faut prouver sa dévotion à l’aérodynamisme en dépassant la vitesse du son en chute libre, sans parachute, bien évidement.
D’ailleurs, certain des membres les plus les radicaux des partisans s’en prennent régulièrement à toutes forme d’objet conçu pour sa prise au vents, comme les voiles de bateaux, les ailes d’avion ou de chauves souris et bien entendu les éventail.
Qui plus est, les P.A. boivent du selecto.

un représentant des partisans de l'aérodynamisme, reconnaissable à son faible coefficient de trainée

La rivalité entre les racailles éventails et les partisans de l’aérodynamisme est particulièrement violente et ils se font souvent la guerre dans les rues du 13 arrondissement . Pourtant, il ne s’agissait à l’origine que d’un seul groupe, l’amicale passionnée pour l’étude de la mécanique des fluide. On appelle cet évènement "le schisme de la mécanique des fluides", ou "la fin des jours heureux". Les causes du schisme sont inconnue du public, mais il a provoqué une haine qui persiste à ce jour. 

Bon mercredi à vous §§§

 Soledad arrive un aprèm en retard au Lycée avec son pote Bill, où ils trouvent dans la cour des élèves fuyant la cantine en panique mais étrangement silencieusement. Alarmés, ils choppent un petit de 6ème pour lui demander ce qu'il se passe. Il est visiblement incapable de parler, sans doute sous le choc, mais essaie désespérément de leur faire malgré tout comprendre quelque chose, à grand renfort de gestes de bras affolés, de regards pressants, et de grognements incompréhensibles. Voyant qu'ils ne comprennent pas, il finit par se dégager et s'enfuir. Ils s'apprêtent à rentrer dans la cantine pour voir ce qu'il s'y passe quand ils entendent quelqu'un hurler 

 Après un de ses monologues intérieurs dont Soledad a le secret, elle arrive finalement à la seule conclusion possible : "Oh mon dieu, ils se sont tous fait chipser !" Ils courent sans attendre vers la source des cris de détresse, prêts à en découdre.

 La cantine est sans dessus dessous, des élèves criant et pleurant silencieusement un peu partout, certains aussi visiblement figés dans des positions diverses. Seuls deux élèves semblent avoir gardé leur calme : Richard et Šůkňež. Šůkňež n'ayant pas prononcé un mot depuis la rentrée, c'est vers Richard qu'ils se tournent pour lui demander qui est le serial chipseur, quand un rire diabolique retentit derrière eux, un rire qu'ils n'ont encore jamais entendu (tous les personnages ont une 'voix' -qui dans le manga sera une typo, mais ici une couleur- différente) : celui de Šůkňež : "hahahaha" !

Ukraine, 2400 ans avant JCVD la gigantesque armée chinoise est aux portes du petit village de Šůkňež. Les soldats avancent lentement mais sûrement en poussant des cris de guerre à l'unisson, ce qui permet à Šůkňež de tous les chipser d'un coup ! Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive mais parviennent tout de même à former un phalange pour attaquer, et là Šůkňež prends la même position qu'eux et chipse leur mouvement. Sun Tzu, le général adverse, est furieux mais doit se résoudre à l'évidence de la défaite. 
 Šůkňež et sa famille font la fête sur la place du village, Šůkňež effectue un geste de victoire ukrainien consistant à passer sa tête dans son coude replié comme pour tousser en temps de pandémie tout en tendant l'autre bras vers l'horizon, et dit : 'j'ai réussi !' mais un gars dans l'ombre fait tout pareil que lui et ainsi chipse en même temps son mouvement et sa parole : c'est Sun Tzu ! Avant qu'ils n'aient le temps de réagir, il tue la famille de Šůkňež sous ses yeux horrifiés et s'enfuit en mettant le feu au village. 
 Šůkňež reste ainsi figé pendant deux mille ans, avec l'armée figée il est prit pour une statue et exposé, puis scellé dans le tombeau d'un empereur, puis déterré et a nouveau exposé, baladé de musée en musée. Pendant tout ce temps Šůkňež, qui a une théorie que la mode c'est cyclique, attends furieusement que la mode du geste de victoire ukrainien revienne, parce que 1) le faire alors que c'est pas la mode c'est la honte, et 2) quelqu'un va peut être le délivrer ! En effet, pour délivrer quelqu'un d'un chips de mouvement il faut faire le mouvement par lequel il a été chipsé.
 Enfin, en 2017, un touriste français dabe devant lui, le libérant ! Rendu à moitié fou par l'attente, Šůkňež l'assomme, lui vole ses papiers et part recommencer à zéro en France. Une fois arrivé, il remarque avec horreur que personne n'est capable de prononcer son nom, et commence à se résoudre à une vie muette et sans chips (sa passion), quand un jour au Lycée le crissement d'une chaise de cantine fait exactement le son de son nom, le libérant enfin ! Ivre de joie et du pouvoir retrouvé, il commence à chipser dans tous les sens, inarrêtable.


  Soledad essaie malgré le risque d'engager le dialogue avec Šůkňež, mais se fait interrompre par Richard : " Hum Hum. Tu ferais mieux de ne pas te jeter dans l'arène sans connaître les règles Soledad, tout le monde s'est déjà fait avoir. Bon, de ce que j'ai vu pour l'instant je dirais que les règles sont les suivantes :
 1) On peut chipser la voix de quelqu'un en prononçant un mot complet en même temps que chips lui PAN puis en disant 'chips'. (ne vous préoccupez pas de moi, j'ai appelé quelqu'un pour qu'il élimine mes gages au fur et à mesure)
 2) On ne peut se faire délivrer d'un chipsage audio qu'en entendant son prénom.
 3) On peut chipser les mouvement de quelqu'un en faisant le même mouvement qchipsuePAN lui puis en disant 'chips'.
 4) Briser un chips octroie un gage :chips le PAN prochain ordre qu'énoncera ton chipseur devra impérativement être respecté.chips
Voilà, PAN essayez de vous en sortir avec ça rapidement s'il vous plaît, j'aimerais pouvoir retourner en cours, moi ! Aussi je vous déconseille d'essayer de le chipser à votre tour, d'autres s'y sont essayés et y ont perdu des plumes, il est très rapide" Il sort alors son  Iphone 25SS+ et compose un numéro : "Allô Sebastian ? Oui, merci pour les gages, 4 à mon compte, c'est bien ça ? Oui parfait, Papa vous règlera comme d'habitude" à 500 mètres de là, sur un toit surplombant la cène, Sebastian raccroche le coup de fil qu'il avait pris dans son oreillette stylée. De la fumée sort de son fusil de précision de tueur à gage. "Malheureusement, je doute que vous ayez les moyens pour Sebastian" conclu nonchalamment Richard en s'en allant.

 
 Soledad entame le dialogue avec Šůkňež, utilisant son pouvoir pour réfléchir entre chacun de ses mots pour rester surprenante et éviter les chips : "Arrête steup ce carnage insensé ! T'es complètement maboule chips ! Hahahah 'boule' est un mot aussi, tu sais ?" .
 Bill, horrifié crie : "Soledad chips".
Soledad est libérée mais n'ose pas essayer de délivrer Bill. Šůkňež arbore un sourire sardonique, visiblement sûr de lui. Ils se tournent autour, chacun cherchant une faille. Soudain, Soledad se jette sur un plateau repas, déchire un paquet de poivre et le lance au visage de Šůkňež : "ATCHAt chips". Šůkňež, qui s'était préparé à une éventualité de ce genre en voyant son adversaire bondir, saisi aussitôt une chaise et la racle au sol, se délivrant juste à temps pour intercepter par surprise le cri de Soledad par lequel elle entendait délivrer son compagnon : "Bill ! chips".
 Mais, à la surprise générale, Bill n'est pas délivré de son chips et est toujours incapable de parler ! Il sort son téléphone et pianote furieusement dessus, puis le jette à Soledad ! Mais Šůkňež, toujours à l'affût, copie son mouvement et le chipse ! Soledad attrape le téléphone, mais au moment où elle va pour le consulter, Šůkňež prends la même pose qu'elle et ... "CHIPS chips" à sa plus grande surprise, Šůkňež s'est fait chipsé auditivement, au moment même où il chipsait les mouvement de Soledad ! Le téléphone qu'elle a dans sa main est ouvert sur une page de google translate, qui répète en boucle "Soledad. Soledad. Soledad" Šůkňež, surpris, se fige, toujours dans la même position que Soledad. "Chips !".

 Ne reste plus dans la cantine que ceux que les chips empêchaient de fuir. Au milieu des tables en désordre et des élèves figés, Bill, Soledad et Šůkňež statufiés se jaugent du regard. Soledad qui seule peut encore parler, essaie de nouveau de délivrer Bill, toujours sans succès. Elle se tourne alors vers Šůkňež et lui propose un marché : elle le laisse bouger et promets de n'utiliser son gage que pour annuler les gages qu'il a lui même contractés en chipsant à tout va. Šůkňež, incapable d'acquiescer sans briser un de ses chips, hésite puis hoche la tête. Soledad, en prenant toujours soin de choisir des mots surprenants et imprévisibles, mais qui cette fois n'en contiennent pas d'autres, enjoint tous les élèves présents dans la pièce à bouger et parler juste quand elle finira de formuler son gage pour Šůkňež, pour s'assurer qu'il n'ait pas le temps de formuler un gage pour enjoindre quelqu'un à l'empêcher de mettre son plan à exécution.  Elle lui ordonne enfin d'annuler tous ses gages, veillant à ne bouger elle même qu'à la dernière seconde. Elle fonce alors vers Šůkňež, armée d'un second paquet de poivre, et l'en arrose de nouveau, le faisant rompre son chips vocal par son éternuement. Elle le rassure alors qu'elle n'utilisera pas ce second gage, mais qu'il a pas intérêt à redéconner.

...
"Dis Bill, pourquoi je ne pouvais pas te libérer ? C'est pas ton vrai nom ? Tu t'appelles genre William ?"
"J'étais pas sûre mais ça me l'a prouvé, je suppose que je devrais remercier Šůkňež finalement... Je suis trans ; je crois que je préfèrerais que tu m'appelles Emma"